Le secret des couples qui durent ?
Le secret d’un couple qui dure ⁉️
▶️ La construction d’une relation sur le long terme est un exercice difficile. Sur une durée de plusieurs années, plusieurs tranches de vie se succèdent. Chacun gagne en maturité à son rythme qui peut être différent.
Le secret des couples qui durent réside surtout dans la capacité des conjoints à inventer des couples successifs et à entretenir un érotisme, c’est-à-dire une tension du désir l’un pour l’autre.
Ça passe par :
🎈La séduction
🎈Du temps qualitatif ensemble
🎈Beaucoup de communication
🎈et surtout que chacun garde son individualité !
L’adage “on ne fait qu’un” est la meilleure chose pour tuer l’érotisme car comme le dit si bien Esther Perel, le désir a besoin d’espace.
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La sexualité pendant les règles
Article rédigé par Gabrielle Adrian pour le blog de MY.LUBIE
Le guide du SAFE SEX pendant les règles
Pas de tabou et pas de pression
Pour la plupart des personnes à vulves, le cycle menstruel est compliqué et la semaine de nos règles n’est pas le moment où l’on se sent le mieux. Ballonnements, maux de têtes, crampes au ventre… Résultat on fait l’impasse sur notre sexualité.
Le problème c’est que si on fait vraiment le bilan, pendant la période d’ovulation on ne se sent pas au top, pour celleux qui vivent des SPM (syndrome prémenstruel) compliqués ce n’est pas drôle non plus et pendant nos règles n’en parlons pas… bref on pourrait quasiment faire l’impasse sur notre sexualité 3 semaines sur 4 !
Le tabou autour des règles est encore présent et beaucoup trouvent cela sale ou honteux, mais en ce qui concerne notre plaisir, que se passe-t-il dans notre corps à cette période ?
La recherche montre que le désir sexuel que l’on peut ressentir est croissant pendant nos menstruations et que la connexion à notre (nos) partenaire(s) est plus forte pendant cette période.
Les avantages à avoir des relations sexuelles pendant cette période :
– Le sexe est un antidouleur naturel très efficace. Les crampes que l’on peut ressentir pendant nos règles viennent de la contraction de l’utérus. Lorsque l’on a un orgasme, l’utérus se contracte de la même manière et se détends ensuite, ce qui finalement soulage les crampes. De plus, le cerveau secrète des endorphines pendant les rapports sexuels qui agissent comme un puissant antidouleur.
– C’est le bon moment également pour pratiquer le Slow Sex. Les parois vaginales peuvent être plus sensibles et plus réactives, ce qui veut aussi dire que si la sexualité se fait sans friction brusque et en douceur, cela peut donner beaucoup de plaisir.
– Cela peut aider à relâcher la pression et la honte associées aux menstruations. Faire l’amour à cette période-là peut vous aider à lâcher prise et plus vous lâcherez prise, plus vous prendrez de plaisir. La sexualité c’est rarement parfait, et l’accepter permet un grand épanouissement.
Quelques conseils :
Maintenant que nous sommes au clair sur le fait que faire l’amour pendant vos règles n’a rien de dégoutant ou de gênant, voici quelques conseils :
– Cela peut salir un peu, n’oubliez pas de mettre une serviette et d’éviter les draps blancs
– L’usage du préservatif ou de la digue dentaire est nécessaire pendant les règles pour éviter une grossesse. Le risque de contracter une maladie sexuellement transmissible peut également être plus élevé.
– Si vous avez des douleurs, n’hésitez pas à tester le CBD et notamment l’huile intime de My Lubie (Ps : elle n’est pas compatible avec les préservatifs en latex)
– Pourquoi pas faire l’amour sous la douche, ça peut permettre de limiter la quantité de sang et pas de problèmes de tâches.
– Rappelons également que la pénétration n’est pas obligatoire, vous pouvez très bien vous concentrer sur le clitoris (sexe oral compris )et porter un tampon ou une cup par exemple pour les personnes qui le veulent.
– Une autre option est de pratiquer le sexe anal
– Concernant les sous-vêtements menstuels, il en existe maintenant de règles pour tous les goûts, les magnifiques Tangas de Malucette par exemple peuvent vous permettre d’être plus en confiance pendant cette période
Une seule règle (sans mauvais jeu de mot) à respecter est de vous écouter vous, vous envies et vos partenaires.
Qu’est ce que le smegma ?
Notemment ce qu’est ce dépôt blanchâtre un peu “caillé” que l’on peut trouver sur son sexe à certain moment.
C’est ce que l’on appelle le SMEGMA.
« Smegma » est un terme médical d’étymologie latine (1819, du latin smegma, « détergent », du grec smekhein, « laver, essuyer, nettoyer »), et qui fait référence au savon.
👁️🗨️Dans notre esprit, le smegma a quelque chose de dégoutant bien qu’il s’agisse d’une substance sécrétée par le corps qui permet un nettoyage naturel, qui lubrifie et équilibre la flore.
➡️On trouve le smegma dans le sillon du gland sous le prépuce du sexe masculin, et sur la vulve entre les petites lèvres du sexe féminin.
Il est sécrété par les glandes préputiales, ces glandes sont situées sous le prépuce et produisent le smegma de la même façon que l’on transpire. Ça “suinte”. Le nombre de ces glandes est variable d’un homme à l’autre, du coup la production de smegma varie aussi.‼️
❤️Lors le smegma s’accumule, cela crée un problème d’hygiène.
Il est important de laver son sexe tous les jours à l’eau
et de bien sécher son sexe avant de se re-calotter pour éviter un phénomène de macération. C’est cette même macération qui est souvent à l’origine des problèmes d’odeur.❤️
L’amour est dans le pied ! Tout savoir sur le fétichisme des pieds.
Qu’est ce que cela veut dire être fétichiste des pieds et en quoi cela consiste ?
Le fétichisme des pieds est une pratique ancestrale qui s’est retrouvé victime de nombreux préjugés car elle fait rire autant qu’elle effraie. C’est la forme de paraphilie (fantasmes ou comportements sexuels fréquents et intenses qui se détachent de la norme) la plus répandue et elle concerne d’ailleurs plus les hommes que les femmes.
1. Est-ce un fantasme sexuel comme un autre ?
Le fétichisme est très largement répandu et il se définit au sens large par un intérêt sexuel pour un objet ou une partie du corps précise. Lorsque certains ressentent une excitation sexuelle à la vue de lingerie fine ou de talons aiguilles, pour d’autres ce sera les seins, les mains ou les torses musclés. Un fétichisme des fesses rebondies ou des muscles sculptés sera donc considéré comme normal car ce sont des fétiches socialement alimentés et mis en valeur. A l’inverse, le fétichisme des pieds est victime de nombreux préjugés, car il semble ne pas avoir de cause sociale ou naturelle mais il relève d’une même logique : être sexuellement excité par une zone précise du corps.
2. En quoi cela consiste ?
Le fétichisme des pieds consiste à prendre du plaisir grâce aux pieds. L’excitation est alors stimulée par le fait de regarder, de caresser, de sentir ou de lécher des pieds. Cette préférence sexuelle a des degrés bien différents.
Certaines personnes vont considérer leur fétichisme comme un bonus venant pimenter leur sexualité et pourront tout à fait ressentir du plaisir sexuel sans se focus uniquement sur les pieds. D’autres personnes n’atteignent l’orgasme qu’en interaction avec des pieds féminins, plaçant cette partie du corps au centre de leur sexualité. De nombreux spécialistes s’accordent cependant à considérer que le « vrai fétichiste » a besoin d’être en présence de l’objet de son fétiche pour être excité sexuellement.
3. D’où vient l’excitation ?
Les origines du fétichisme sont multiples, mais plusieurs psychologues tendent à penser qu’il viendrait de l’enfance. Le fétichiste aurait été surpris puis excité par la beauté du pieds d’une femme, appartenant souvent à une figure à la fois forte et rassurante, comme la mère, une institutrice ou encore une nounou. En grandissant, cette attirance reste associée à une figure d’autorité, mais se détache de la personne à qui appartient les pieds.
Un autre paramètre peut aussi jouer un rôle dans l’excitation : sa dimension symboliquement liée à la domination. En effet, le pied impose sa force en écrasant le sol. Pour cette raison, certains fétichistes recherchent cette forme de soumission, en demandant par exemple à leur partenaire de leur marcher dessus.
4. La place de l’orgasme dans tout ça
Dans cette pratique, le plaisir physique et l’excitation sont souvent décorrélés. L’excitation vient davantage d’une action qui n’implique pas un rapport sexuel dit classique, comme par exemple la vue de jolis pieds dans des chaussures ouvertes. Cette excitation est évidemment synonyme de plaisir, mais elle ne rime pas toujours avec éjaculation. Pour prendre son pied, le fétichiste n’a donc pas toujours besoin d’aller jusqu’à l’orgasme. A l’inverse, les fétichistes peuvent aussi se focaliser sur l’acte physique et y trouver beaucoup de plaisir.
5. Est-ce que l’on peut avoir une sexualité classique avec un fétichiste des pieds ?
Rencontrer un fétichiste des pieds peut être surprenant les premiers temps. Nous n’avons pas l’habitude que cette partie du corps soit sexualisée, admirée, glorifiée. Pour autant, en fonction du degré de fétichisme, il est tout à fait possible d’avoir une sexualité épanouissante. Contrairement aux préjugés, les fétichistes des pieds ne sont pas des gens bizarres et pervers… Mais si vous venez d’apprendre que votre partenaire est fétichiste, alors que cette pratique vous laisse dubitative, mettez un point d’honneur à poser vos limites et à respecter vos désirs. Si les pieds ont tendance à vous repousser, il paraît évidemment compliqué d’accepter que quelqu’un vous les lèche. Si en revanche, vous n’y voyez pas de problème particulier, le fétichisme peut être une manière d’expérimenter une nouvelle pratique, voire une appétence que vous n’auriez pas soupçonnée. Vous pouvez donc le voir comme un jeu ou comme un obstacle, mais n’acceptez aucune demande qui vous met mal à l’aise.
Sources :
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-rue69/20110525.RUE2470/affaire-tron-pourquoi-les-pieds-excitent-certains-hommes.html
https://www.fourchette-et-bikini.fr/psycho/etre-fetichiste-des-pieds-quest-ce-que-ca-veut-dire-22005.html
SOS « mon mec n’a aucune libido »
“En couple depuis dix ans, Aurélie doit composer avec le fait que son compagnon n’a presque aucune libido. Si la jeune femme ne perd plus confiance en elle comme au début de leur relation, elle doit apprendre à gérer sa frustration. Une sexologue lui répond. “
NOTRE RÉPONSE :
Merci beaucoup pour ce courrier, qui, nous en sommes sures, résonnera chez beaucoup d’autres lectrices.
On le sait : le couple est fait de compromis, et chacun en a pour son lot de sacrifices et d’efforts à fournir. Les vôtres sont conséquents, et il est tout à fait normal, malgré le chemin parcouru, que la situation vous pose encore parfois problème.
« Il est difficile au quotidien de ne pas se sentir désirée ou regardée. D’autant que dans l’imaginaire collectif, c’est l’homme qui est toujours en demande, et la femme qui, du fait des fluctuations hormonales, des menstruations, de la grossesse, ou encore de l’allaitement, ne ressent plus de désir », explique Gabrielle Adrian, sexologue et créatrice de la plateforme « My Sexo (https://mysexo.fr/) ».
Il est vrai que les hommes n’ayant pas un appétit sexuel débordant sont rarement sur le devant de la scène. Le stéréotype selon lequel les femmes ont besoin de plus de tendresse que de sexe, contrairement aux hommes, ces êtres sexuels assoiffés d’orgasmes, lui, est toujours répandu.
« Les hommes aussi sont concernés par le désir hypoactif, c’est-à-dire des baisses de libido et de désir sexuel », confirme pourtant Gabrielle Adrian. Pourquoi n’en parle-t-on pas de manière plus libérée ? Certainement à cause de cette masculinité toxique qui continue de faire des siennes, et de propager le cliché de l’homme virile qui ne pense qu’avec son pénis.
« Le désir hypoactif chez l’homme engendre une très grande frustration, due aux attentes exagérées qui touchent à la libido masculine. On pense encore trop souvent qu’un homme doit être “toujours prêt” », déplore la sexologue.
Nous avons bien compris, Aurélie, que cela n’est pas votre cas et que vous comprenez que votre partenaire n’ait pas toujours envie de faire l’amour. Il nous semble tout de même important de faire ici un petit rappel des faits. Breaking news : le désir masculin, lui aussi, fluctue en fonction des hormones. « Chez l’homme, le désir est dépendant de son taux de testostérone. Celui-ci est présent dans le sang à raison de trois à douze nanogrammes par millilitres. En dessous de ce taux, on assiste à une baisse significative de l’appétit sexuel », détaille Gabrielle Adrian.
Et si la charge mentale pèse encore très largement sur les femmes, les hommes aussi peuvent se sentir dépassés et surmenés au quotidien. « Le stress, les difficultés qui peuvent survenir au travail, le temps passé à s’occuper des enfants : la pression est bien réelle. Selon un sondage réalisé par l’IFOP en 2010, la fatigue est la principale cause d’une baisse de libido. Les personnes interrogées évoquent ensuite des raisons liées à l’éducation des enfants, les préoccupations financières ou professionnelles, et les migraines », rappelle Gabrielle Adrian.
Brisons donc rapidement un tabou culpabilisant : non, tous les couples ne font pas l’amour tous les soirs, et ce n’est pas pour cela que les choses vont mal ! Parfois, on a les pieds froids, on a la flemme, on pense qu’on a oublié de faire les courses, et on préfère jouer au Code Name, regarder une série, ou lire un bouquin que de se lancer dans un 69. « Il y a aujourd’hui une trop grande focalisation sur l’activité sexuelle du couple et sur sa fréquence. S’il y a bien une dimension variable, mouvante et évolutive dans nos vies, c’est le désir. Celui-ci n’a rien de linéaire », rassure Gabrielle Adrian. Comprendre : ce n’est pas parce qu’on n’a pas couché avec notre mec depuis un mois que l’on est condamnée à vivre comme une nonne. Parfois on couche ensemble trois fois en une semaine, parfois on ne se touche pas pendant un mois : il n’y pas a pas toujours de règle en matière de routine sexuelle.
« Le désir circule, il invite sans cesse les partenaires à être mobiles et susceptibles de se repositionner l’un par rapport à l’autre. Les problèmes arrivent justement quand il y a répétition et installation d’une manière bien particulière d’être ensemble. Si l’on résume : toute posture figée est suspecte. Celles et ceux qui disent : “Nous ne faisons jamais l’amour“, ou “Nous faisons beaucoup moins l’amour qu’avant“, ou qui crient haut et fort “Nous le faisons chaque jour“ se trouvent toutes et tous dans une même tentative : installer du ciment, alors que, sauvage et imprévisible, l’érotisme demande au couple de savoir improviser », analyse la sexologue.
Ses conseils ? Continuez comme vous le faites ! « Faites-vous belle et prenez soin de vous, pour vous en premier lieu, et pour votre partenaire ensuite. Même s’il ne vous le montre pas à travers son désir sexuel, il apprécie forcément de voir la femme qu’il aime se faire plaisir en s’apprêtant », estime Gabrielle Adrian. Il peut aussi être intéressant d’instaurer des moments à vous au cours de la semaine, en cuisinant tous les deux, ou simplement en échangeant autour d’un verre. « Cela permet de discuter de l’organisation de la maison, du travail, de notre moral. Les hommes aussi ressentent cette pression et ce besoin de tout devoir gérer à la fois, et cela peut faire peur », explicite la sexologue.
Enfin, parler ouvertement de sexe peut parfois débloquer la situation, tout en créant le désir. « Peut-être est-ce le moment de changer complètement de pratique ? Puisque c’est vous qui prenez les devants, osez discuter de sexualité avant même de rentrer dans l’action », encourage Gabrielle Adrian. « Créer le désir et l’attente est parfois tout aussi fort que d’avoir une relation en soi », conclut-elle. À cela, on se permet d’ajouter qu’en cas de frustration érotique intense, la masturbation (https://www.elle.fr/Love-Sexe/Sexualite/Nouveaux- plaisirs-des-idees-pour-se-masturber-differemment-3871288) se révèle souvent être d’une grande aide !